ATTACHÉE DE PRESSE DANS LE SPECTACLE VIVANT
Janvier – février 2024
ABYSSES
Centquatre et Théâtre 13 Bibliothèque, Paris
De : Davide Enia
Traduction : Olivier Favier
Mise en scène : Alexandra Tobelaim
Composition musicale : Claire Vailler et Olivier Mellano
Scénographie : Olivier Thomas
Avec : Solal Bouloudnine et Claire Vailler (guitare et voix)
Ce récit bouleversant mêle histoire intime – celle du narrateur et de son père dans une relation où les mots font défaut – et drame humanitaire – celui des personnes en exil, se déroulant sous leurs yeux à Lampedusa – avec la même fragilité et le même espoir, transmis sans apprêts sur scène par un comédien et une musicienne.
Visuels © Matthieu Edet
Avril 2024
JE VIS DANS UNE MAISON QUI N’EXISTE PAS
Théâtre Ouvert, Paris
Texte, mise en scène et jeu : Laurène Marx
Collaboration artistique : Fanny Sintès
Création sonore : Nils Rougé
Création lumières : Kelig Le Bars
Pour cette nouvelle performance, où l’on retrouve le théâtre cru et viscéral qui la caractérise, Laurène Marx tisse le portrait de la psyché d’une personne souffrant de troubles dissociatifs de la personnalité et de problèmes de gestion de la colère : le texte oscille ainsi entre la naïveté d’un conte enfantin et le réalisme pragmatique d’une existence neuroatypique inadaptée à la société.
Visuels © Christophe Raynaud de Lage
Mars 2024
LICHEN
Théâtre de Belleville, Paris
De : Magali Mougel
Mise en scène : Julien Kosellek
Avec : Natalie Beder, Ayana Fuentes-Uno et Viktoria Kozlova
Ce récit porte la voix d’une petite fille dont le père lutte contre la dépossession de son foyer, et par là même de son histoire, au profit d’une rénovation urbaine imposée au cœur d’un quartier en cours de démolition. L’écriture de Magali Mougel nous plonge avec force et poésie dans les rêves et les ressentis d’une enfance tumultueuse. Julien Kosellek transpose au plateau son instabilité et cette chute irréversible par un oratorio pour trois actrices et musiciennes.
Photo © Romain Kosellek
Mars 2024
L’ABOLITION DES PRIVILÈGES
Théâtre 13 / Bibliothèque, Paris
De : Bertrand Guillot
Adaptation et mise en scène : Hugues Duchêne
Avec : Maxime Pambet
La nuit du 4 août 1789, réunis à Versailles au sein de la jeune Assemblée nationale, les députés décident de « détruire le régime féodal ». Après Je m’en vais mais l’Etat demeure, fresque politique de six heures sur le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, Hugues Duchêne porte cet événement fondateur à la scène dans un sprint d’1h15. Seul en scène, Maxime Pambet y incarne une dizaine de personnages qui ont changé la face du pays.
Photo : © Blokaus
Contact : Francesca Magni • francesca.magni@orange.fr • +33 6 12 57 18 64